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PROTECTIONS MENSTRUELLES (DES ALTERNATIVES BIO)

 

Vivre ses règles naturellement (& focus sur les dangers du conventionnel)

 

Bon, qu’on se le dise, ce n’est pas l’article le plus facile que j’ai à écrire (jamais au grand jamais j’aurais pensé parler de ce sujet sur Internet #hyperpudique 😣🙈) mais c’est un sujet que je juge vraiment important et qui, je l’espère pourra en aider plus d’une ! Il est important de savoir ce que nous mettons en contact de notre petite 🌸, parce qu’il faut le dire, les industriels se fichent bien de notre santé.
Cet endroit est très fragile, il faut le protéger. Déjà parce que les irritations, les démangeaisons, les chocs toxiques on n’en veut pas 🙅🏽 – les pesticides, le pétrole, le chlore, la dioxine (P.O.P = Polluant Organique Persistant = cancérigène) et les perturbateurs endocriniens dans sa petite 🌸 et dans le sang, on n’en veut pas non plus 🙅🏽 !

Les menstruations concernent toutes les femmes, de la puberté à la ménopause soit 5 jours/mois, 12 mois/an pendant environ 40 ans (en moyenne). Ce qui fait entre 10000 et 15000 protections hygiéniques par femmes ! Et si nous multiplions par le nombre de femmes depuis que nous sommes passés au jetable… le nombre est juste astronomique !

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Des protections menstruelles écologiques et surtout non toxiques !

 

Thérapeutes.com le 16/12/2018

Therapeutesmagazine.com

 

Vous avez certainement entendu parler de la toxicité des tampons périodiques classiques. Ils sont responsables de plusieurs infections graves, certaines ayant conduit jusqu’à la mort leur porteuse. C’est ce qu’on appelle le syndrome du choc toxique.

Les tampons favoriseraient chez les jeunes femmes -mais pas que- la prolifération du redoutable staphylocoque doré.

La recrudescence de ce syndrome s’aggrave et malgré les alertes, la composition des tampons n’étant toujours pas connue, il est temps de revoir notre position à ce sujet.

Un impact écologique certain

Parlons aussi des serviettes jetables en plastique qui sont de vrais nids à bactéries et sont un véritable désastre écologique, encore pire que les tampons.

Les femmes utilisent plus de 10 000 serviettes, tampons et protège-slips au cours de leur vie… Autant de déchets qui mettront 500 ans à se dégrader…

Loin d’une réelle protection : une grande toxicité

 

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Coupe menstruelle
on adopte ou pas ?

  • La coupe menstruelle révolutionne discrètement les protections intimes

Avec son nom un peu technique et sa forme étonnante, la coupe menstruelle est en train de révolutionner discrètement les protections intimes. Face aux tampons ou serviettes périodiques jetables et toujours plus absorbants, celle qu’on appelle aussi « la cup » recueille le flux menstruel au lieu de le retenir. Écologique et réutilisable pendant des années, elle prend soin de la physiologie des femmes, à condition de respecter certaines règles d’hygiène. Une récente étude pointe les dangers de certaines coupes menstruelles face au risque de choc toxique. L’occasion de faire le point sur ses avantages et ses limites.

Une femme utilise en moyenne 11 000 tampons au cours de sa vie. Un petit produit simple et pratique qui va l’accompagner étroitement, cinq jour par mois, durant trente à quarante ans... mais sur lequel elle sait bien peu de choses. Car aujourd’hui, en Europe, aucune réglementation n’oblige les fabricants à communiquer sur la composition exacte des tampons hygiéniques. Les règles étant considérées comme un phénomène physiologique normal, les tampons entrent dans la catégorie des produits de consommation classique. Seuls les articles classés dispositifs médicaux sont soumis à un détail exhaustif dès l’emballage. Un flou dangereux qui s’appuie sur un tabou à la peau dure, relatif au sang féminin.

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Tampax, arme chimique mortelle


Les Tampax représentent un marché colossal et leur secret de fabrication est farouchement conservé par Procter & Gamble, le fabriquant de la marque TAMPAX, leader mondial du marché, (ainsi que des lessives et détergents…..). Or, qui sait que ces cartouches si absorbantes et si pratiques sont imbibées… de DIOXINES – cette substance hautement cancérogène ?   Le cancer du col de l’utérus est le second cancer féminin, et une femme meurt du cancer de l’utérus toutes les deux minutes dans le monde ! Y aurait-il un rapport ??? La moyenne des femmes ayant cinq jours de menstruation par mois durant 38 ans, utilisera donc statistiquement 11.000 tampons au cours de sa vie.

Ce produit d’hygiène intime féminin est classé par la FDA (Food and Drug Administration) comme un instrument médical. Ainsi, les fabricants ne sont pas tenus de se conformer aux mêmes règles d’étiquetage que celles en vigueur pour les aliments, médicaments ou cosmétiques. Tout comme pour les tests de toxicité dans la distribution alimentaire, les tests d’ordre chimique sur les tampons sont réalisés par les fabricants ou des chercheurs privés qui sont payés par ceux qui fabriquent et vendent les tampons. A noter que Procter & Gamble tient à garder secrète la recette de sa soupe chimique vu que les seules femmes américaines rapportent deux milliards de dollars par an pour leurs serviettes hygiéniques et leurs tampons chimiques.

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